La conjoncture élevage 2025
LA CONJONCTURE DE MAI
Le prix du porc rebondit après une longue période de stagnation
En mars, les abattages de bovins augmentent de 10 % par rapport à février, mais baissent de 8 % par rapport à ceux de l’an passé. Les abattages de vaches, de génisses et de bovins de 12 mois ou moins progressent, tandis que ceux de gros bovins mâles s’essoufflent. Les abattages d’ovins, dynamisés par les fêtes de Pâques, augmentent. Les abattages de porcs progressent également. Les abattages de volailles augmentent malgré la fermeture de l’abattoir de Blancafort.
En avril, les cours des vaches grimpent en raison du manque d’offre, alors que les cours des jeunes bovins et des veaux stagnent. Le prix des broutards charolais progresse, contrairement au prix des broutards limousins qui baisse. Les exportations de broutards rebondissent grâce à une demande dynamique. Le prix de l’agneau explose, soutenu par Pâques et une météo favorable. Le prix du porc repart à la hausse après plusieurs mois de stabilité.
LA CONJONCTURE DE MARS
Le manque d’offre fait grimper les prix des bovins à des sommets
En janvier, les abattages de bovins progressent de 10 % par rapport à décembre, et de 2 % par rapport à ceux de l’an passé. Les abattages de gros bovins mâles, de vaches et de génisses augmentent, tandis que ceux de bovins de 12 mois ou moins baissent. Contrairement aux abattages de porcs, qui flambent, les abattages d’ovins s’écroulent. Les abattages de volailles s’essoufflent après les fêtes.
En février, les cours des vaches, des jeunes bovins et des broutards explosent face à la pénurie d’offre, alors que le prix du veau stagne. Les exportations de broutards ralentissent en raison du manque de marchandises. Le marché de l’agneau est dynamisé par le ramadan mais le cours baisse. Le prix du porc stagne face à un marché en équilibre.