Le Recensement Agricole 2020 : LES PRODUCTIONS ANIMALES

L’ELEVAGE DES CAPRINS

L’élevage caprin diminue en Centre-Val de Loire, en nombre d’élevages comme en nombre de têtes. La région détient cependant 10 % du cheptel national, réparti dans 648 exploitations. Les troupeaux s’agrandissent et sont plus grands que la moyenne métropolitaine. Le nombre d’exploitations individuelles s’érode, au profit de formes sociétaires variées, mais le capital reste en grande partie aux mains des exploitants actifs.


L’ELEVAGE DES BOVINS LAITIERS

Erratum : par rapport à la diffusion en octobre 2022, cette version prend en compte des modifications mineures sur les parties concernant les diplômes et la main d’œuvre.

L’élevage bovin laitier se raréfie en Centre-Val de Loire. Avec moins de 850 exploitations en activité en 2020, la région représente à peine 2 % du cheptel national. Les troupeaux s’agrandissent et sont, en moyenne, plus grands que la moyenne métropolitaine. Les structures individuelles disparaissent au profit de formes sociétaires variées, mais le capital reste en grande partie aux ains des exploitants actifs.


L’ELEVAGE DES BOVINS ALLAITANTS

Erratum : par rapport à la diffusion en octobre 2022, cette version prend en compte des modifications mineures sur les parties concernant les diplômes et la main d’œuvre.

L’élevage bovin allaitant régresse en Centre-Val de Loire, que ce soit au sein d’exploitations spécialisées en bovin viande ou en polyculture-élevage. Les ateliers bovins viande sont moins nombreux et se concentrent dans le sud régional. Cependant, les élevages s’agrandissent, en surfaces et en cheptels : les cheptels à plus de 100 vaches-mères sont les seuls dont le nombre augmente entre 2010 et 2020.


L’ELEVAGE DES OVINS

Erratum : par rapport à la diffusion en octobre 2022, cette version prend en compte des modifications mineures sur les parties concernant les diplômes et la main d’œuvre.

L’élevage ovin perd du terrain en Centre-Val de Loire. Avec moins de 1 350 exploitations en activité en 2020, la région représente à peine 3 % du cheptel national. Les troupeaux s’agrandissent mais sont, en moyenne, plus petits que la moyenne métropolitaine. Les structures individuelles restent très présentes même si elles ont tendance à diminuer. La main d’oeuvre diminue mais, rapportée au nombre d’exploitations, le nombre d’ETP est plutôt à la hausse, reflétant une augmentation de la taille de ces dernières.


L’ELEVAGE DES PORCINS

Erratum : par rapport à la diffusion en octobre 2022, cette version prend en compte des modifications mineures sur les parties concernant les diplômes et la main d’œuvre.

Loin d’être une activité dominante en Centre-Val de Loire, l’élevage porcin se concentre dans un nombre de plus en plus réduit d’exploitations au cours de ces dix dernières années. Avec moins de 300 exploitations en activité en 2020, la région représente 2,5 % du cheptel national. Si les ateliers porcins sont moins nombreux qu’il y a dix ans, la taille du cheptel est restée sensiblement identique avec un léger recul de 0,2 %. La taille moyenne des troupeaux est supérieure à la moyenne métropolitaine.


Partager la page