La conjoncture élevage 2022

LA CONJONCTURE DE DECEMBRE

Viandes et lait attaquent des sommets, seul le porc chute

En novembre, les abattages ralentissent dans toutes les grandes catégories, hormis en ovins. Les cours des bovins parviennent à se maintenir malgré la baisse de la consommation dans les grandes surfaces. Les exportations de broutards profitent de la forte demande italienne. Le cours de l’agneau progresse toujours. Les abattages de porcins ralentissent, alors que le prix du porc chute. Le creux saisonnier des livraisons de lait fait grimper les cours. Le prix des aliments reste stable alors que le prix du carburant flambe.

LA CONJONCTURE D’OCTOBRE

Plafonnement des cours

En septembre, les cours des viandes bovines et du lait de vache plafonnent à des tarifs inédits. Les exportations de broutards pâtissent du ralentissement estival. Les abattages d’ovins baissent, et les tarifs stagnent face à une consommation morose.

Le cours du porc est au plus haut avec une offre déficitaire. Les abattages de volailles s’accélèrent. Le coût des aliments se stabilise alors que le prix du carburant diminue.

LA CONJONCTURE DE JUILLET

Les cours des bovins sur un plateau haut

En juin, les cours des viandes bovines se maintiennent à un niveau élevé, alors que le prix du lait continue de grimper pour faire face à l’augmentation des coûts de production. Les exportations de broutards sont dynamisées par la demande italienne.

Le prix des agneaux est en berne en raison d’une faible consommation. Le cours du porc se stabilise alors que l’offre est au plus bas. Les abattages de bovins diminuent, contrairement aux abattages de porcs et de volailles qui rebondissent.

LA CONJONCTURE DE MAI

Envolée générale des cours

En avril, les cours des viandes bovines et du lait continuent d’augmenter, dans un contexte de flambée des coûts de production. Les exportations de broutards progressent grâce à une demande italienne dynamique.

Le prix des agneaux bondit au moment de Pâques. Le cours du porc est au plus haut malgré une faible demande. Les abattages rebondissent dans toutes les filières.

LA CONJONCTURE DE MARS

L’envolée des coûts de production tire les cours vers le haut

En février, les cours des viandes bovines et du lait progressent afin de compenser la flambée des coûts de production. Les exportations de broutards rebondissent face à une demande importante.

Le prix des agneaux stagne à l’approche de Pâques, alors que le cours du porc progresse pour suivre l’augmentation du prix allemand. Les abattages s’essoufflent dans toutes les filières.


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